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De la guerre d’aujourd’hui…

Dernière mise à jour : 27 nov. 2020






Les guerres de contre insurrection dans lesquelles, nous, les chefs des unités de manœuvre sont et seront engagés pendant encore de nombreuses années sont comparables à une Corrida. Nous incarnons le taureau : puissamment armé, recherchant le combat frontal, misant sur sa puissance de frappe pour vaincre. Le toréador, c’est l’insurgé, le résistant ou encore le terroriste. Il est chez lui, dans son arène, devant son public. Il doit plaire à l’un et esquiver l’autre. Il est félin et manœuvrier comme dirait le Gen Bigeard. Il se joue de notre raideur et réactivité aux incidents. Il nous épuise à chaque passage. Un peu plus à chaque coup d’estoc. Lui, il a le temps. Nous, nous sommes pressés car nous saignons.


A la fin, car il y a toujours une fin, il y a soit une corne qui est fatale, soit une lame qui porte le coup final. Quand on sait quelle est la partie la plus prisée en gastronomie chez le taureau de Corrida, vous trouverez ci-après une démarche qui vous aidera à vaincre les toréadors dans vos zones d’opérations et éviter ainsi cette issue fatale et humiliante.


Ce n’est pas la promptitude à dénoncer les problèmes qui distingue le chef mais son ardeur à les résoudre.







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